La vie d’une copropriété

L’entreprise Gantois termine ce soir les clôtures. Ils ont bien travaillé. Ils ont également installé les piquets pour la haie végétale le long du parking visiteurs.

L’étanchéité d’une terrasse du bâtiment B avance doucement.

Denis, quant à lui, a nettoyé la piscine. Après deux jours de travail acharné, voilà le résultat :

La photo aérienne a été prise par Valbopiscine… Je l’en remercie… La piscine ouvrira officiellement le 9 Mai. A vous la bronzette… 

L’Assemblée Générale du C.I.Q du Pont des Trois Sautets aura lieu le :

Samedi 26 Avril à 9 h 45 à la salle polyvalente de la « Grande Bastide » au Val-Saint-André.

Les invités : Mme JOISSAINS, Mrs CHORRO, LEGIER, LAGIER, GUINDE et BOUVET.

L’ordre du jour :

- L’aménagement de l’avenue Malacrida

- Le projet d’un parking à étage à la sortie de l’autoroute

- L’aménagement de la zone de non-droit que représente le quartier des Trois Sautets (confusion de l’espace public, pas de place pour les piétons…)

- La préservation du Pont des Trois Sautets

- Les habitats précaires au bord de l’Arc

- La traversée du quartier par les poids lourds

- La nécessité de la gratuité du tronçon de l’A8 « Les Trois Sautets – Le Cannet » pour soulager la circulation dans le quartier.

- Questions diverses posées par l’ensemble de l’Assemblée.

Tous les habitants de notre quartier sont invités. Allez-y nombreux, cela fera peut-être bouger les choses… Nous avons l’entrée de ville la plus « moche » de toute l’agglomération aixoise.

 Nous avons de nouvelles pensionnaires à la piscine, les grenouilles !!! Elles se font surtout entendre à la tombée de la nuit.

Denis a commencé à nettoyer les plages de la piscine aujourd’hui, avec le nettoyeur à haute-pression. Elles en ont vraiment besoin !!!

 La semaine prochaine, les grenouilles ne seront pas à la fête, il va vider les bassins. 

Promis, juré, ce week-end, il fait beau… C’est la météo qui le dit !!! Je vous propose une petite balade pour Dimanche :

                             A Meyrargues, sur le chantier des chèvres

Le sentier commence après le cimetière et s’élance très progressivement vers les hauteurs. Le large sentier bordé d’euphorbes se rétrécit peu à peu pour finir au pied de vastes rochers blancs qu’il faut escalader. Rien de vraiment méchant (pour les chèvres que nous sommes…). Les paliers qui ponctuent la « grimpette » au milieu des chênes Kermès et des genevriers nous conduisent vers de jolis à-pics.

Sur la droite se dresse, à demi dissimulée dans la verdure, la falaise où les gamins du coin viennent s’entraîner à l’escalade. Derrière, la vue est splendide sur la Durance serpentant à nos pieds. Au loin se dessinent Petit et Grand Luberon.

Après un sous-bois, un chemin pierreux nous mêne vers la ligne de crête toute blanche. Il ne s’agit pas apparemment du Pissolier. Redescendre de l’autre côté en direction de la face Nord de la Sainte-Victoire. La caillasse roule sous les chaussures. En bas, plusieurs chemins ; prendre droit devant. Bifurquer sur un petit chemin qui dévale en sous-bois.

Regagner la route au Pas de l’Etroit. Passer près du vieil aqueduc romain (il reliait la source de Traconnade de Jouques à Aix-en-Provence) et d’une petite chapelle.

Rejoindre le château de Meyrargues (Château Renaissance transformé en Hostellerie 4 étoiles) et le village pour se désaltérer.

Cette balade dure environ 3 heures de marche et n’est pas difficile.

Ceci n’est pas un anniversaire comme les autres. La 2 CV est en effet une véritable institution, bien plus qu’une simple « machine à rouler », que ce soit dans son pays ou ailleurs. Il s’agit d’un véritable art de vivre, d’un retour à la simplicité, aux choses essentielles.

En 1948, il y a tout juste 60 ans, la 2CV fut dévoilée au salon de Paris. Les familles désargentées voyaient en cette voiture le moyen économique de se déplacer. La demande fut telle que commander un exemplaire devenait un véritable chemin de croix. Les clients étaient triés sur le volet et les délais d’attente frisaient les 5 ans !

Au fil des années, la 2CV s’embourgeoisa et se déclina en une version camionnette en 1951. En 1954, une version plus puissante était proposée.

Mais même les mythes ont une fin et dans les années 80, la 2 CV n’était plus achetée que par quelques irréductibles et progressivement, les différentes usines stoppèrent sa production. Le 27 juillet 1990, la dernière 2 CV, une Charleston grise, tombe de chaîne de l’usine portugaise. L’une des voitures les plus populaires au monde vient de faire ses adieux à un monde qu’elle a côtoyé durant plus de quarante ans. Une page se tourne…

La Cité des Sciences et de l’Industrie rend hommage à celle que l’on a surnommée la « Deuche », à travers une exposition qui se déroule du 15 Avril au 30 Novembre. Si vous êtes ou si vous passez par Paris, allez vite y faire un tour…..

A cinq heures, ce matin, Valbonnette a été réveillée par un gros orage de grêle… Nous avions de petits tas de grêlons un peu partout dans la résidence.                Qu’est-ce que les grêlons ?

Les grêlons sont ces particules de glace dont les chutes en très grand nombre depuis certains cumulonimbus constituent la grêle . Leur dimension, très variable, se situe généralement entre 5 mm et 5 cm de diamètre, mais peut aller jusqu’à 15 cm. Ils se forment habituellement entre – 10 et – 20 °C à partir d’embryons de cristaux de glace qui, pris dans un courant descendant , chutent et fondent en agglomérant autour d’eux des gouttes d’eau par coalescence , l’ensemble étant pris ensuite dans un fort courant ascendant qui le fait se congeler en formant un premier grêlon, lequel chute de nouveau et commence à fondre en se chargeant d’eau liquide avant d’être repris dans un courant ascendant, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la vitesse des courants ascendants ne puisse plus compenser la vitesse de chute du grêlon (celle-ci varie de 4 à 30 mètres par seconde).

 La résidence est très calme en ce moment. A part quelques résidents qui sont fatigués et à qui nous souhaitons un bon rétablissement…

Voici quelques dictons du mois d’Avril :

- On n’a pas hiverné tant qu’avril n’est pas passé.
- Fleur d’avril ne tient qu’à un fil.
- En avril ne te dépouille pas d’un fil.
- Avril est cousu de mauvais fil.
- Il faut qu’avril laisse mares et fossés tout plein à mai.
- Au mois de mars l’hiver part, au mois d’avril le chaud arrive.
- En avril le sureau doit fleurir sinon le paysan va souffrir.

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Cliquez sur le lien ci-dessus pour avoir le son

Si les farces sont désormais connues sous le nom de « poisson d’avril », cela remonte là encore à ce cher 16ème siècle. Les cadeaux que l’on s’offrait en avril étaient souvent alimentaires. Cette date étant à la fin du carême, période durant laquelle la consommation de viande est interdite chez les chrétiens, le poisson était le présent le plus fréquent. Lorsque les blagues se développèrent, l’un des pièges les plus courants était l’offrande de faux poissons. 

 Voici un article sur l’Eglise Saint-André, mitoyenne avec notre copropriété. Il est peu facile, curieusement, d’avoir des indications intéressantes sur l’origine de l’Eglise et les premiers temps de la Paroisse : aucun renseignements précis n’a pu être recueilli, ni aucune information validée.

« Valboandré » nous dit : D’après la feuille paroissiale de St André, l’église daterait de 1960-65 (nouvelle info, ce serait 62-63). L’afflux d’habitants dans ce quartier a nécessité la construction d’un lieu de culte. L’Eglise a été construite avant les immeubles qui l’entourent et qui sont de l’autre côté de l’avenue Magnan. Il y avait auparavant déjà une chapelle du même nom. Le diocèse a acquis un bâtiment désaffecté d’E.D.F. ; il a été transformé en lieu de culte grâce au Père Desthieux, alors curé de St Jean de Malte.  A quelques aménagements près ce bâtiment devint l’Eglise actuelle.

Il y avait au début dans le jardin au nord de l’Eglise un local pour le catéchisme. Plus tard on construisit , à cet endroit,le presbytère.